A la fin du XIXème siècle, l’activité des carrières, le travail des Carriers et du grès représentent un poids économique très important pour le développement local.


La Ferté Alais et les villes environnantes vont bénéficier de ce développement de l’activité des carriers, des commerces, de l’animation des bourgs.
Mais à quel prix ?


Paris, se pare de grès pour ne plus s’embourber, palier à un manque d’hygiène et remodeler le paysage urbain parisien.

La vie est difficile pour les Carriers, les journées de labeur sont longues et épuisantes.

La maladie de Saint Roch les frappe sans vergogne (tuberculose des carriers).

A l’exploitation des patrons, ils opposent leurs associations, leurs syndicats et s’organisent ensemble pour faire bloc.

Photographies© de Monsieur Victorio Panarelli:
Victorio Panarelli: “Je me souviens mon père Giuseppe, mes frères Raphaël et Dominique beau frère Felice qui ont travaillé dans les carrières de grès, surtout a Videlle, Mondeville.. et moi le jeudi j’allais compter les pavés et les bordures. Tout ça taillé dans la roche et à la main..bravo a eux💕”




L’environnement Fertois en porte encore les traces.


Boutigny – Une carrière de grès.
La Galerie: